(Gallimard, 2000, Folio N°3633)
Certains matins demeurent inoubliables tant par l’intensité du lieu que par les instants qu’on y a savourés. Empruntez le quai des Tuileries, suivez la Seine. Les arcades de la passerelle Solférino semblent élégantes et décidées, elles bondissent vers l’esplanade ouverte au pied du musée d’Orsay. Savourez ce soleil hivernal et les résonances sur l’eau.
Un petit roman gonfle ma poche, la rumeur de la ville vibre au-dessus de nous, tu souris l’air espiègle. « J’ai déniché un petit livre rare : tu vas te régaler … Lire la suite